SERBIE,

De Dobreta Turnu Severin à Sombor

De Dobreta Turnu Severin à Donji Milanovac, 71 km

 Nous voici en Serbie pour longer le Danube. Les dix premiers kilomètres en Roumanie empruntaient la route vers Timisoara, une route avec une circulation importante et de nombreux poids lourds. La frontière roumano-serbe s’est passée sans aucune difficulté. Nous avons ensuite suivi une route avec quelques bosses qui nous menaient de point de vue en point de vue. C’était superbe ! Le Danube se reserre dans deux canyons successifs, « les portes de fer ». Entre ces deux goulots d’étranglement il se déploie sur deux kilomètres de large. Le tout est entouré de montagnes, de falaises. Cette route est l’Eurovelo 6 bien fléchée en Serbie. Nous avons rencontré une dizaine de cyclotouristes aujourd’hui, tous français. Nous nous sommes arrêtés dans un village presque touristique et nous avons trouvé une chambre à 20€. En attendant le propriétaire nous sommes allés boire une bière (1€ les 50 cL), cela ne va pas ménager notre foie. Un léger orage en fin de journée pour rafraîchir l’atmosphère ne nous a pas effrayés ; nous ne connaissons pas les chaleurs caniculaires françaises.

Le millionnaire protochroniste Iosif Drăgan, inspiré par les œuvres du mont Rushmore aux États-Unis, fit sculpter dans la roche une tête de 55 m de haut du dernier roi daceDécébale, qui est pour les Roumains ce que Vercingétorix est pour les Français.(Wikipedia )

Nous avons continué de suivre l’eurovelo 6 qui longe le Danube mais nous avons aperçu le Danube seulement le dernier kilomètre de notre parcours lorsque nous l’avons traversé à  Novi Sad.

Nous avons emprunté surtout des routes au milieu d’arbres fruitiers (pommes et pêches ), et de cultures de maïs et de tournesols. Quelques kilomètres sur des routes pavées, quelques kilomètres sur une route en réfection et interdite à la circulation et quelques bosses à grimper avant l’arrivée ont constitué notre journée. Nous sommes hébergés dans une chambre de caractère chez l’habitant au centre de Novi Sad.

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De Novi Sad à Sombor, 98 km

Une journée dans une plaine serbe fertile. La route est sans aucun dénivelé. Nous avons traversé des villages de plusieurs kilomètres de long, des champs de fèves immenses, des cultures de poivrons étendues avec leurs cueilleurs en ligne. Des champs de framboises nous ont fait envie et nous avons acheté en bord de route des framboises à 90 centimes le kilo.

La Serbie nous semble un pays agréable à vivre avec des habitants souriants et ouverts. Quelques uns rencontrés aujourd’hui nous ont dit que la presse à l’étranger leur construisaient , à tort, une image négative.

Nous sommes hébergés pour la nuit dans un appartement grand confort pour un prix dérisoire. C’est presque dommage de dormir et de ne pas profiter du super écran avec plein de films, de la douche avec tous ses jets, de la cuisine super équipée …..Cela change du camping!

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De Donji Milanovac à Veliko Gradiste, 82 km

Nous avons continué de suivre l’eurovelo 6 qui longe le Danube mais nous avons aperçu le Danube seulement le dernier kilomètre de notre parcours lorsque nous l’avons traversé à  Novi Sad.

Nous avons emprunté surtout des routes au milieu d’arbres fruitiers (pommes et pêches ), et de cultures de maïs et de tournesols. Quelques kilomètres sur des routes pavées, quelques kilomètres sur une route en réfection et interdite à la circulation et quelques bosses à grimper avant l’arrivée ont constitué notre journée. Nous sommes hébergés dans une chambre de caractère chez l’habitant au centre de Novi Sad.

De Novi Sad à Sombor, 98 km

Une journée dans une plaine serbe fertile. La route est sans aucun dénivelé. Nous avons traversé des villages de plusieurs kilomètres de long, des champs de fèves immenses, des cultures de poivrons étendues avec leurs cueilleurs en ligne. Des champs de framboises nous ont fait envie et nous avons acheté en bord de route des framboises à 90 centimes le kilo.

La Serbie nous semble un pays agréable à vivre avec des habitants souriants et ouverts. Quelques uns rencontrés aujourd’hui nous ont dit que la presse à l’étranger leur construisaient, à tort, une image négative.

Nous sommes hébergés pour la nuit dans un appartement grand confort pour un prix dérisoire. C’est presque dommage de dormir et de ne pas profiter du super écran avec plein de films, de la douche avec tous ses jets, de la cuisine super équipée …..Cela change du camping!

Nous avons suivi l’eurovelo 13 très bien fléchée. La route devient parfois chemin ou même sentier étroit au fond de la gorge

Sur l’eurovelo on rencontre des cyclotouristes (une vingtaine aujourd’hui ) mais aussi des faucheurs à vélo .

Le château de Golubac garde l’entrée du canyon le plus à l’ouest.

La Serbie ne fait pas partie des pays où l’on a accès à l’internet mobile avec les mêmes conditions qu’en France. Nous attendons le soir pour bénéficier de la wifi et la connexion n’est pas toujours très  bonne.

Belgrade est une ville verte avec de grands parcs. Dans le premier parc traversé nous avons vu une belle église orthodoxe.

Ce matin nous avons atteint Belgrade par une piste de 15 km sur une digue. Seuls quelques pêcheurs et de très nombreux oiseaux étaient là.

Dans le deuxième parc immense nous avons découvert les remparts de la ville et sa forteresse. De nombreuses armes du vingtième siècle étaient aussi exposées. Nous dominions la confluence de la Save boueuse et du Danube.

Nous sommes sortis de la ville en longeant des quais aménagés en bars.

La piste cyclable est superbe, une piste aménagée pour les joggers est aussi étonnante. A cela s’ajoutent des exerciseurs de parcours de santé  et des jeux pour enfants sur une dizaine de kilomètres. Aujourd’hui c’est dimanche et les Serbes utilisent volontiers ces structures.

Comparaison de la position de l’UE sur la Catalogne et le Kosovo

Les Serbes savent faire la cuisine et proposer de bons vins.

De Batajnica à Novi Sad, 82 km

Nous avons continué de suivre l’eurovelo 6 qui longe le Danube mais nous avons aperçu le Danube seulement le dernier kilomètre de notre parcours lorsque nous l’avons traversé à  Novi Sad.

Nous avons emprunté surtout des routes au milieu d’arbres fruitiers (pommes et pêches ), et de cultures de maïs et de tournesols. Quelques kilomètres sur des routes pavées, quelques kilomètres sur une route en réfection et interdite à la circulation et quelques bosses à grimper avant l’arrivée ont constitué notre journée. Nous sommes hébergés dans une chambre de caractère chez l’habitant au centre de Novi Sad.

De Novi Sad à Sombor, 98 km

Une journée dans une plaine serbe fertile. La route est sans aucun dénivelé. Nous avons traversé des villages de plusieurs kilomètres de long, des champs de fèves immenses, des cultures de poivrons étendues avec leurs cueilleurs en ligne. Des champs de framboises nous ont fait envie et nous avons acheté en bord de route des framboises à 90 centimes le kilo.

La Serbie nous semble un pays agréable à vivre avec des habitants souriants et ouverts. Quelques uns rencontrés aujourd’hui nous ont dit que la presse à l’étranger leur construisaient , à tort, une image négative.

Nous sommes hébergés pour la nuit dans un appartement grand confort pour un prix dérisoire. C’est presque dommage de dormir et de ne pas profiter du super écran avec plein de films, de la douche avec tous ses jets, de la cuisine super équipée …..Cela change du camping!