L’ascension de 17 km vers le col de Bonnecombe a occupé notre matinée. À chaque kilomètre était annoncé le dénivelé et la distance restant à parcourir jusqu’au sommet. C’est encourageant et cela permet de doser l’effort. Nous avons rencontré des cueilleurs de girolles qui avaient des sacs bien pleins. Une petite bruine a commencé à se manifester avant le col. La température chutait petit à petit et notre pique-nique fut rapide pour éviter de se refroidir.
Le paysage de l’Aubrac nous offre de grandes étendues désertiques d’herbes et de roches. Les vaches Aubrac ont l’air de ne pas tenir compte du froid et de la pluie. Nous étions arrivés dans les nuages et la visibilité se limitait aux bas-côtés pour admirer la magnifique flore.
Il faut se rendre à l’évidence vous êtes moins résistants que des vaches Aubrac…
On vous y verra avec les normandes !