Après un petit coucou à la mer, nous avons roulé toute la matinée sur des routes forestières, des chemins plus ou moins fréquentables mais très tranquilles sous une pluie battante.

Nous nous sommes autorisés une petite pause pour nous restaurer sans nous refroidir.

Quelques heures un peu plus sèches ont été mises à profit pour grimper des cotes dans ce pays réputé plat.

La dernière partie du trajet nous a rincés des pieds à la tête. Un Ibis était le bienvenu près de Béthune pour nous réchauffer.

Nous avons rencontré l’apiculteur José  au moment où nous cherchions à emprunter ce chemin délicat. Il est en combat contre les agriculteurs qui détruisent les haies, apportent des pesticides et détruisent aussi les chemins.

Un paon perché

Nous sommes bien arrivés dans le pays des terrils.

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