Les marais pour rejoindre Marennes furent venteux. La traversée du pont sur la Seudre décoiffait ; il fallait s’accrocher au vélo et tenir ses lunettes.

La forêt pour rejoindre ma pointe de la Coubre et son phare nous a bien protégés de cet ennemi du cycliste. Nous avons longé les belles plages de sable avant d’arriver à Royan sous la pluie. L’hôtel que nous avions choisi était le refuge de deux autres couples de cyclorandonneurs. L’un avait commencé son périple au Cap Nord et avait essuyé de nombreuses averses sérieuses.

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