Après un petit-déjeuner copieux servi par nos hôtes la première difficulté est de sortir de la Médina ; les nombreux escaliers ne sont pas favorables aux vélos. Nos porteuses (Anne-Marie, Annette et Colette ) nous facilitent grandement la tâche.L’étape est ensuite facile et très agréable : quelques oueds bien creusés puis les montagnes s’arrondissent et deviennent des collines fréquentables. Les vendeurs de figues sont installés tout au long de la route, ĺes faucheuses de blé oeuvrent dans les champs. On a même vu une moissonneuse-batteuse. Les parcelles de culture sont de plus en plus larges. La campagne sent bon, il y plein de senteurs différentes. Didier se retrouve avec une belle touche de pollen jaune que le vent a du déposer.