De Aguilas à Mojacar nous avons traversé des stations balnéaires où on imaginerait de passer des vacances reposantes au bord de la mer…si on ne faisait pas de vélo. Nous avons ensuite bien grimpé dans des zones désertiques jusque Carbonares où une centrale thermique cohabite avec les touristes.
Nous voulions atteindre le village des Albaricoques pour la beauté du nom et ensuite trouver un camping. Après des kilomètres de grimpette dans le désert puis des kilomètres dans des cultures abritées par des bâches à n’en plus finir nous nous sommes laissés porter par le vent. Exceptionnel ! Au moins 10 kilomètres sans pédaler ! Que c’est facile avec le vent dans le dos !
Nous sommes arrivés dans un bout du monde, tranquille.