Le parcours est resté relativement plat une bonne partie de la journée lorsque nous longions la mer. Nous avons observé trois types d’aménagement côtier : le premier avec beaucoup de monde, beaucoup de commerces, beaucoup de bruit, des parcs d’attraction où les gens crient quand ils sont projetés dans tous les sens… le deuxième très chic avec de grandes villas, des aménagements paysagers assez british et peu de touristes… le troisième très américanisé avec de grandes rues vides.
Nous avons opté pour l’intérieur des terres et après un col avec le vent de face et des rafales violentes nous sommes arrivés dans un beau petit village romain. La gérante du camping nous a donné les clefs du lieu et nous y sommes seuls !
Des automobilistes ont fait demi tour en nous apercevant ; ils voyaient que nous partions sur une « mauvaise route » et ils sont venus nous conseiller. C’est vraiment sympa !
Nous avons rencontré un cyclotourisme japonais. Parti de son pays il se dirigeait vers l’Afrique. Il avait mis un an pour arriver en Espagne !