Au fur et à mesure de notre ascension la température baissait et un vent de face glacial  se levait. Pédaler dans le crassier devenait de plus en plus fatigant. Une petite chute dans l’un des trois longs tunnels humides nous a confortée dans l’idée de prendre en compte notre état de fatigue.

Nous avons rejoint Landos puis pour éviter la nationale 88 en rejoignant l’Allier. Une dernière ascension  pour voir Naussac et son lac et .nous nous sommes arrêtés à Langogne bien fatigués.