Les quarante premiers kilomètres furent difficiles non pas à cause du dénivelé mais à cause de la circulation. Être excexcessivement attentif dans un environnement très  bruyant est fatigant. Une nouvelle autoroute a été créée après  Fier, laissant l’ancienne route à l’abandon mais surtout avec très peu de voitures. On a pu respirer, admirer le paysage et les oliviers. Nous avons pique-niqué sur un muret en bord de route et un Albanais nous a offert quatre belles tomates qu’il venait de récolter .

Nous avons retrouvé la mer et ses marais salants à  Vlora. Le vent du sud est aussi de la partie avec de fortes rafales.

Nous sommes installés dans un camping en bord de mer. L’eau est délicieuse et on peut observer plein de beaux poissons .